Réflexion...

  Au début de l’année 2024, le mois était tout juste sur les chapeaux de roue quand je me suis fait une réflexion… Vivement que cette année soit terminée. Pensée que j’ai exprimée aussi verbalement.
   Nous voilà à mi-parcours et j’ai toujours cette réflexion en tête. Il faut dire que les évènements ne me donnent pas tort.
  La guerre et ses massacres de civils, d’enfants ce n’est pas acceptable, des ombres de conflits s’installent. 
  Des nuages xénophobes, et autres phobies contraires à l’humanité sont poussées par le vent de la haine.
  La violence face à ce déchaînement dessert l’esprit de réconciliation et de convaincre mot par mot ce fléau de mensonges diffusés par des politicards dignes de KAA qui endort le peuple, l’hypnose, ayez confiance, on s’occupe de tout, ayez confiancccceeee

  Des calculs politiques de bas étage nous conduisent dans un précipice dont nous aurons du mal à nous relever.
  Dans la tour d’ivoire, loin des préoccupations de la nation, mais ayant l’oreille ouverte au libéralisme destructeur de la vie sociale, nos dirigeants nous emportent dans un vortex digne des trous noirs de l’univers.

  Nichiren Daishonin, le dernier Bouddha de la loi, traversa le 13e siècle au Japon. Pays qui sombrait dans des troubles sociaux, des catastrophes naturelles sans précédent et la menace d’être envahie par les Mongoles.
 Il expliquait que les gens peuvent utiliser leur voix de deux manières. 
L’une consiste à tromper les autres et l’autre à exprimer ses convictions authentiques.
 
   Je ne peux pas m’empêcher de faire un parallèle entre ces deux périodes, celle du XIII e siècle au Japon et la nôtre. 
   Hydre immonde qui nous attaque sur cette terre, ici même au pays des lumières, à la devise républicaine, Liberté, Égalité, Fraternité dont la gravure sur nos frontons risque de dégouliner de honte pour nos générations à venir.
   L’Hercule qui vaincra à nouveau l’Hydre, c’est la force des urnes, la parole citoyenne d’être libre et non soumis aux dictats des leurs de KAA… faites-nous confiance ssiiiis.  Kaa, tu ne nous endormira pas.